Jeudi 8 mars - Départ et Arrivée @ Dresden

Ce ne fut pas évident de quitter la vie de TELECOM, surtout après un mois de vacances à se reposer (ou pas, en fait). Le voyage vers Dresde (ou Dresden pour les allemands) s’est fait en plusieurs étapes. Flo et moi avons quitté TELECOM Bretagne le mardi 6 mars au matin. Après un gala mémorable (et fatiguant) et un rangement de la chambre, ça n'as pas été facile.

Après un passage par chez moi plutôt rapide (une journée, à peine le temps de faire et défaire les valises et de régler les derniers détails administratifs) direction Dresden le Jeudi au matin.

Itinéraire prévu :

    En partant de Chateau-P (Ardennes), on prévoit de remonter vers la Belgique, de traverser le Luxembourg puis  l’Allemagne.

      Tout commence bien, nous traversons la Belgique sans problème. Il n’y a personne… vraiment personne… pas un chat... Le début de voyage s’annonce donc plutôt cool ! Mais…

      Arrivée près de Luxembourg (la ville) ça se complique : en effet, c’est la fréquentation du périph’ parisien avec une limite de vitesse de 130 km/h. Le voyage devient tout de suite moins rigolo.

      Nous nous arrêtons juste avant la frontière avec l’Allemagne (ou plutôt juste à la frontière). Le gasoil étant à 1,08 €, ma voiture a le droit à un ptit coup bien mérité.

Puis c’est l’Allemagne… et là, c’est le drame. Les autoroutes allemandes, c’est l’anarchie totale ! On ne comprend pas les sorties, y’a pas de panneaux, la chaussée est dans un état déplorable, c’est un peu laborieux… sans compter que les gens roulent a des allures diverses et variées (du 100 km/h au 170 km/h). La compréhension des panneaux n'a commencé qu'à partir de Giessen… soit après un bon 2h de route !

Autre fait remarquable, en Allemagne, les autoroutes sont gratuites et non limité... oui, bon, je vous apprends pas grands chose. par contre, les toilettes sont payantes! et oui, il faut prendre son ticket à 50 cents avant d'aller au toilette. cool!

Finalement, après pas loin de 11 h de route, nous arrivons enfin aux portes de Dresden. Mais l’épopée ne s’arrête pas là ! Hé non ! Il faut encore trouver un logement, et comme celui de la TU n'est pas accessible (arrivé vers 19h, quand même), c'est pas gagné.